Autres chirurgies du corps
J-Plasma Renuvion®
Le traitement par Renuvion® (ou J-Plasma) est une procédure chirurgicale mini-invasive permettant de raffermir et retendre la peau en agissant de l’intérieur au niveau du derme et des fibres de collagène.
Le Renuvion® peut être utilisé seul ou en complément d’autres techniques comme la liposuccion.
En utilisant une combinaison d’hélium-plasma et d’énergie radiofréquence, le Renuvion® chauffe les tissus très rapidement à la température idéale pour susciter la contraction des fibres de collagène entre autres. En moins d’une seconde, après avoir atteint la température idéale de contraction, la peau refroidit à nouveau.
L’appareil est introduit sous la peau par de minimes ouvertures de moins d’un centimètre comparables à celles utilisées pour réaliser une liposuccion. L’anesthésie est locale ou générale selon les cas.
L’effet tenseur est visible immédiatement en fin de procédure ; néanmoins, cet effet liftant sans cicatrice s’améliore encore pendant 6 à 9 mois en raison de la néo-collagénèse induite par le traitement.
La peau relâchée peut être améliorée en particulier au niveau des bras, des cuisses, des genoux, du ventre, des hanches, du dos, du visage et du cou.
En cas d’excès de peau important (tablier abdominal, peau très tombante au niveau des membres, du cou etc…), les techniques de lifting avec cicatrices restent indiquées.
Le Renuvion® a vraiment sa place :
- isolément en cas d’excès de peau modéré, permettant ainsi d’éviter un lifting avec cicatrice
- en complément des liposuccions afin d’aider la rétraction de la peau
- pour compléter ou entretenir le résultat d’un précédent lifting chirurgical
- pour traiter des zones inaccessibles aux techniques classiques de chirurgie comme les avant-bras, par exemple.
Les suites sont comparables aux suites d’une liposuccion. Des gonflements, des bleus et quelques douleurs sont présents pendant plusieurs jours (1 à 3 semaines selon les cas). Le port d’un vêtement de contention pendant 1 mois est recommandé.
Le Renuvion®, approuvé par la FDA notamment, est une innovation technologique majeure en chirurgie esthétique dont les effets bénéfiques et la sécurité ont été prouvés par de très nombreux articles scientifiques.
Implants de mollets
La correction de l’hypoplasie des mollets (mollets trop petits) peut intervenir soit dans un contexte de chirurgie réparatrice (atrophie musculaire congénitale, séquelles de poliomyélite) soit dans un contexte de chirurgie esthétique.
C’est la technique de choix pour l’augmentation des mollets.
C’est la seule technique pour les patients ne disposant pas de réserves de graisse suffisantes pour réaliser un lipomodelage et qui souhaitent bénéficier d’un résultat durable en une intervention.
L’implant est le plus souvent placé en position interne. Plus rarement, un implant externe est indiqué. Enfin, 2 implants peuvent être mis en place dans le même temps, lorsque l’augmentation de mollet doit être plus globale, généralement dans le cadre d’une reconstruction (séquelles de poliomyélite ou de pied-bot).
Les implants utilisés sont spécialement étudiés pour l’augmentation des mollets. Ils sont pré-remplis d’un gel de silicone très cohésif (très ferme) et l’enveloppe est très résistante. Le risque de rupture est très faible en l’absence de traumatisme violent (accident de la voie publique…). En cas de rupture, l’implant rompu doit être changé, sans urgence. Deux formes principales d’implant existent (en ogive type Glicenstein ou en cône type Montellano).
La forme et le volume de l’implant sont adaptés à chaque patient en fonction du résultat souhaité.
L’incision est cachée dans un pli de flexion du genou et mesure entre 3 et 5 cm.
L’implant est positionné en profondeur, contre les muscles du mollet.
L’intervention se déroule sous anesthésie générale et dure en moyenne 1 heure. Le patient est positionné sur le ventre. Aucun drain n’est mis en place.
La durée d’hospitalisation est de 24 heures.
La douleur, très modérée et bien calmée par les antalgiques adaptés, ne dure que les premiers jours mais un inconfort peut être ressenti pendant plusieurs semaines.
La douche est autorisée dès le lendemain de l’intervention.
La cicatrisation est obtenue en 2 à 3 semaines.
La reprise d’une activité sportive intensive sollicitant les membres inférieurs peut se faire 3 mois après l’intervention.
Comme pour toute intervention chirurgicale, un certain nombre de complications peuvent survenir. Mais la probabilité de survenue de ces complications est réduite entre les mains d’un chirurgien plasticien qualifié et en présence d’un anesthésiste compétent.
L’observance par le patient des consignes données par le chirurgien est également essentielle, notamment :
- l’arrêt du tabac 1 mois avant et après l’intervention (diminution de tous les risques) ;
- l’absence de prise d’aspirine pendant 10 jours avant et après l’intervention (diminution des risques d’hématomes) ;
- la prise d’un traitement anticoagulant en prévention du risque de phlébite pendant 10 jours après l’intervention.
Parmi les complications rares mais possibles, on peut citer notamment, sans exhaustivité, les risques d’hématome, d’infection, de problème cicatriciel et de complications thrombo-emboliques (phlébite).
En cas de survenue d’une complication, une prise en charge adaptée sera mise en œuvre.
S’agissant d’un acte à visée purement esthétique, aucune prise en charge n’est accordée par l’assurance maladie.
Dans certains cas (poliomyélite,…), un accord pour un remboursement partiel du coût de l’intervention pourra être demandé.
En cas d’accord, il restera à votre charge les compléments d’honoraires du chirurgien et de l’anesthésiste qui pourront être remboursés en partie ou en totalité par votre mutuelle.
Implants de quadriceps – cuisses
La mise en place d’implants en silicone permet l’augmentation du volume des cuisses entraînant un aspect plus athlétique.
L’implant principal est positionné à la partie antérieure de la cuisse en regard du muscle quadriceps. D’autres implants plus petits peuvent venir compléter le résultat, soit à la partie basse de la cuisse près du genou soit à la face interne des cuisses.
Les implants, fabriqués sur mesure, sont en silicone souple.
Une incision principale de 4 à 6 cm est réalisée au sommet de chacune des cuisses.
Si de petits implants complémentaires près des genoux ou à l’intérieur des cuisses sont mis en place, de petites cicatrices complémentaires sont nécessaires.
L’implant est positionné en profondeur, en superficie des muscles mais sous l’aponévrose musculaire.
L’intervention se déroule sous anesthésie générale et dure en moyenne 90 minutes. Aucun drain n’est mis en place.
La durée d’hospitalisation est de 24 heures.
La douleur, très modérée et bien calmée par les antalgiques adaptés, ne dure que les premiers jours mais un inconfort peut être ressenti pendant plusieurs semaines.
La douche est autorisée dès le lendemain de l’intervention.
La cicatrisation est obtenue en 2 à 3 semaines.
La marche est possible immédiatement. La reprise d’une activité modérée est possible après 2 semaines tandis qu’une activité sportive intensive sollicitant les membres inférieurs peut se faire 6 semaines après l’intervention.
Un vêtement de contention doit être porté sous les vêtements pendant 1 mois, jour et nuit.
Comme pour toute intervention chirurgicale, un certain nombre de complications peuvent survenir. Mais la probabilité de survenue de ces complications est réduite entre les mains d’un chirurgien plasticien qualifié et en présence d’un anesthésiste compétent.
L’observance par le patient des consignes données par le chirurgien est également essentielle, notamment :
- l’arrêt du tabac 1 mois avant et après l’intervention (diminution de tous les risques) ;
- l’absence de prise d’aspirine pendant 10 jours avant et après l’intervention (diminution des risques d’hématomes) ;
- la prise d’un traitement anticoagulant en prévention du risque de phlébite pendant 10 jours après l’intervention.
Parmi les complications rares mais possibles, on peut citer notamment, sans exhaustivité, les risques d’hématome, de sérome, d’infection, de problème cicatriciel et de complications thrombo-emboliques (phlébite).
En cas de survenue d’une complication, une prise en charge adaptée sera mise en œuvre.
Implants de biceps et triceps
Le volume des muscles du bras, biceps et triceps, peut être augmenté à l’aide d’implants en silicone.
Le biceps et le triceps peuvent tous les deux être augmentés ; dans ce cas, 2 interventions séparées sont nécessaires.
Les implants sont positionnés soit sous le fascia musculaire à la surface du muscle soit en intramusculaire.
Les implants, fabriqués sur mesure, sont en silicone souple.
Une incision principale de 3 à 5 cm est réalisée au creux de l’aisselle.
L’implant est positionné en profondeur, en superficie des muscles mais sous l’aponévrose musculaire ou à l’intérieur du muscle.
L’intervention se déroule sous anesthésie générale et dure en moyenne 60 à 90 minutes. Aucun drain n’est mis en place.
La durée d’hospitalisation est de 12 à 24 heures.
La douleur, très modérée et bien calmée par les antalgiques adaptés, ne dure que les premiers jours mais un inconfort peut être ressenti pendant plusieurs semaines.
La douche est autorisée dès le lendemain de l’intervention.
La cicatrisation est obtenue en 2 à 3 semaines.
La mobilisation douce des bras est possible immédiatement.
La reprise d’une activité modérée est possible après 2 semaines tandis qu’une activité sportive intensive sollicitant les bras ou le port de charges lourdes peuvent se faire 6 semaines après l’intervention.
Un vêtement de contention doit être porté sous les vêtements pendant 1 mois jour et nuit.
Comme pour toute intervention chirurgicale, un certain nombre de complications peuvent survenir. Mais la probabilité de survenue de ces complications est réduite entre les mains d’un chirurgien plasticien qualifié et en présence d’un anesthésiste compétent.
L’observance par le patient des consignes données par le chirurgien est également essentielle, notamment :
- l’arrêt du tabac 1 mois avant et après l’intervention (diminution de tous les risques) ;
- l’absence de prise d’aspirine pendant 10 jours avant et après l’intervention (diminution des risques d’hématomes) ;
Parmi les complications rares mais possibles, on peut citer notamment, sans exhaustivité, les risques d’hématome, de sérome, d’infection, de problème cicatriciel et de complications thrombo-emboliques (phlébite).
En cas de survenue d’une complication, une prise en charge adaptée sera mise en œuvre.
Implants deltoïde
La musculature des épaules peut être augmentée grâce à la mise en place de prothèses en silicone au niveau des muscles deltoïdes.
Les implants, fabriqués sur mesure, sont en silicone souple.
Une incision principale de 4 à 6 cm est réalisée au sommet de l’épaule.
Chaque implant est positionné en profondeur, en superficie du muscle deltoïde mais sous l’aponévrose musculaire.
L’intervention se déroule sous anesthésie générale et dure en moyenne 60 à 90 minutes. Aucun drain n’est mis en place.
La durée d’hospitalisation est de 12 à 24 heures.
La douleur, très modérée et bien calmée par les antalgiques adaptés, ne dure que les premiers jours mais un inconfort peut être ressenti pendant plusieurs semaines.
La douche est autorisée dès le lendemain de l’intervention.
La cicatrisation est obtenue en 2 à 3 semaines.
La mobilisation douce des bras est possible immédiatement.
La reprise d’une activité modérée est possible après 2 semaines tandis qu’une activité sportive intensive sollicitant les bras ou le port de charges lourdes peuvent se faire 6 semaines après l’intervention.
Un vêtement de contention doit être porté sous les vêtements pendant 1 mois, jour et nuit.
Comme pour toute intervention chirurgicale, un certain nombre de complications peuvent survenir. Mais la probabilité de survenue de ces complications est réduite entre les mains d’un chirurgien plasticien qualifié et en présence d’un anesthésiste compétent.
L’observance par le patient des consignes données par le chirurgien est également essentielle, notamment :
- l’arrêt du tabac 1 mois avant et après l’intervention (diminution de tous les risques) ;
- l’absence de prise d’aspirine pendant 10 jours avant et après l’intervention (diminution des risques d’hématomes) ;
Parmi les complications rares mais possibles, on peut citer notamment, sans exhaustivité, les risques d’hématome, de sérome, d’infection et de problème cicatriciel.
En cas de survenue d’une complication, une prise en charge adaptée sera mise en œuvre.
Implants de muscles abdominaux
La musculature des muscles abdominaux peut être augmentée grâce à la mise en place de prothèses en silicone. En cas d’excès graisseux, une liposuccion peut être associée ; en cas d’excès de peau, une plastie abdominale peut être associée.
Les implants, fabriqués sur mesure, sont en silicone souple.
Une incision principale de 3 cm est réalisée sur la ligne médiane au-dessus du nombril ; une autre incision se situe autour du nombril.
Les implants (6 ou 8 selon les cas) sont positionnés sous l’aponévrose musculaire. L’intervention se déroule sous anesthésie générale et dure en moyenne 120 minutes. Aucun drain n’est mis en place.
La durée d’hospitalisation est de 12 à 24 heures.
La douleur, modérée et bien calmée par les antalgiques adaptés, ne dure que les premiers jours mais un inconfort peut être ressenti pendant plusieurs semaines.
La douche est autorisée dès le lendemain de l’intervention.
La cicatrisation est obtenue en 2 à 3 semaines.
La mobilisation douce est possible immédiatement.
La reprise d’une activité modérée est possible après 2 semaines tandis qu’une activité sportive intensive peut se faire 6 semaines après l’intervention.
Un vêtement de contention doit être porté sous les vêtements pendant 1 mois jour et nuit.
Comme pour toute intervention chirurgicale, un certain nombre de complications peuvent survenir. Mais la probabilité de survenue de ces complications est réduite entre les mains d’un chirurgien plasticien qualifié et en présence d’un anesthésiste compétent.
L’observance par le patient des consignes données par le chirurgien est également essentielle, notamment :
- l’arrêt du tabac 1 mois avant et après l’intervention (diminution de tous les risques) ;
- l’absence de prise d’aspirine pendant 10 jours avant et après l’intervention (diminution des risques d’hématomes) ;
Parmi les complications rares mais possibles, on peut citer notamment, sans exhaustivité, les risques d’hématome, de sérome, d’infection et de problème cicatriciel.
En cas de survenue d’une complication, une prise en charge adaptée sera mise en œuvre.
S’agissant d’un acte à visée purement esthétique, aucune prise en charge n’est accordée par l’assurance maladie.
Implants pectoraux
Les implants utilisés sont spécialement étudiés pour l’augmentation des pectoraux. Ils sont pré-remplis d’un gel de silicone plus cohésif (plus ferme) que celui des prothèses mammaires. L’enveloppe est également plus résistante. Enfin, leur forme est particulièrement étudiée pour cette indication.
C’est la méthode de choix pour les patients qui ne disposent pas de réserves de graisse pour un lipomodelage mais qui souhaitent néanmoins bénéficier d’une augmentation définitive des pectoraux.
Elle se déroule sous anesthésie générale et dure en moyenne 1h 30. Le patient est positionné sur le dos, les bras en croix.
L’incision est comparable à celle utilisée pour mettre en place des prothèses mammaires par voie axillaire chez la femme, elle est dissimulée au niveau du creux axillaire et mesure 5 à 7 cm.
Chaque prothèse est positionnée sous le muscle pectoral.
Aucun drain n’est mis en place.
La durée d’hospitalisation est de 24 heures.
Le résultat est visible dès la fin de l’intervention.
La cicatrice, verticale, est dissimulée dans le creux de l’aisselle.
Les suites sont peu douloureuses. Une sensation de tension douloureuse est ressentie pendant les premiers jours. Dans tous les cas, un traitement antalgique adapté à l’intensité de la douleur vous sera prescrit.
Des oedèmes (gonflement), des ecchymoses (bleus) et une gêne à l’élévation des bras sont fréquents les premiers temps.
La vie professionnelle peut être reprise entre 5 jours et 2 semaines post-opératoires en fonction du métier.
La reprise des activités sportives se situe à 1 ou 2 mois.
La cicatrisation complète est obtenue en 2 à 3 semaines. Les fils sont résorbables et enfouis. Vous devrez porter un vêtement de contention de type boléro pendant 1 mois, jour et nuit.
Comme pour toute intervention chirurgicale, un certain nombre de complications peuvent survenir. Mais la probabilité de survenue de ces complications est réduite entre les mains d’un chirurgien plasticien qualifié et en présence d’un anesthésiste compétent.
L’observance par le patient des consignes données par le chirurgien est également essentielle, notamment :
- l’arrêt du tabac 1 mois avant et après l’intervention (diminution de tous les risques) ;
- l’absence de prise d’aspirine pendant 10 jours avant et après l’intervention (diminution des risques d’hématomes) ;
Parmi les complications rares mais possibles, on peut citer notamment, sans exhaustivité, les risques d’hématome, d’infection, de sérome, et de problème cicatriciel.
En cas de survenue d’une complication, une prise en charge adaptée sera mise en œuvre.
S’agissant d’un acte à visée purement esthétique, aucune prise en charge n’est accordée par l’assurance maladie.
En cas de malformation thoracique ou de syndrome de Poland, un remboursement partiel du coût de l’intervention peut être envisagé.
